Technique vocale et tradition du bel canto
C’est par l’intermédiaire de François Pohu-Lefèvre, que Frédéric Albou a découvert le travail de Mariam Sarkissian. L’Espace Peugeot, qui avait invité à plusieurs reprises la très belle artiste peintre Saré, mère de Mariam, lui avait proposé une signature de son ouvrage « Je pense donc je chante », et François Pohu est resté très impressionné par ce que Mariam a exposé à cette occasion.
Et, en effet, en lisant cet ouvrage, Frédéric Albou a non seulement trouvé des réponses à des questions de technique vocale sur lesquelles il butait sans solution, mais aussi une filiation à une école qui lui est profondément chère, celle des maîtres italiens belcantistes de la tradition russe, d’abord tsariste, puis soviétique ! Mariam a en effet d’abord été formée par Zara Dolukhanova, héritière des successeurs d’Everardi et de Lamperti. Cette filiation a toujours été celle à laquelle Frédéric voulait se rattacher… mais il lui en manquait les clés.
Le lien est désormais activement établi, et continue de s’approfondir, dans le travail avec cette extraordinaire pédagogue, qui propose tout autant une école de vie, qu’une technique vocale !
La méthode de Mariam Sarkissian est désormais célèbre dans le milieu de l’art lyrique, au point qu’elle est officiellement enseignée, en tant que telle, par plusieurs professeurs de chant, qui se sont formés auprès d’elle.
Le moyen le plus sûr de découvrir comment fonctionne le triangle qui est l’élément central de cette méthode est de prendre contact avec elle, via son site, ou, à défaut, de commencer par lire « Je pense donc je chante ».
Découvrir le site de Mariam Sarkissian